Image dans un cadre
Image in a frame.
Is the photography a reflection of the neigbourhood, of the people or of the photographer?
Imagen centro de un cuadro.
Es la fotografía un reflejo del barrio, de las personas o del fotógrafo?
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Image in a frame.
Is the photography a reflection of the neigbourhood, of the people or of the photographer?
Imagen centro de un cuadro.
Es la fotografía un reflejo del barrio, de las personas o del fotógrafo?
What is your opinon about that Alba ?
Sorry, opinion.
Who I am determine how I see.
I can only give my vision.
I photographiated a part of the neigbourhood, a part of the others…through a part of me.
I can’t try to express that the people explain to me, show me…but I can’t be objective.
I would like to be what I will see.
Quien soy determina como veo.
Solo puedo dar mi visión.
Yo fotografío una parte del barrio, una parte de los otros…a través de una parte de mi.
Puedo tratar de expresar lo que las personas me explican, me muestran…pero no puedo ser objetiva.
Me gustaría ser lo que veo.
« À Viroflay, un quelconque matin d’un très lointain été, il me fut donné d’assister à une éclipse. Mon père, mes frères et moi, ma sœur, voire même, qui sait ? jusqu’à ma mère, nous nous tenions dans le jardin de la « villa Suzanne », louée pour toute la saison, et regardions le soleil à travers des verres fumés. Je ne sais trop ce qu’il y avait exactement à regarder ; l’important, ce n’était pas tellement ce qui pouvait se passer dans le ciel – que j’étais étonné, toutefois, de ne pas voir plus noir – mais cette histoire de verre fumé (…). Ce qui, dans l’éclipse, m’intéressait c’était le maniement du verre fumé, interposé entre mon œil et le soleil (ou son reflet dans un seau d’eau ?). (…) La vraie éclipse était, pour moi, cette couche d’ombre étalée sur le rectangle transparent si proche de mon œil et semblable à un second œil, à une lunette, dans l’intimité de laquelle le phénomène mystérieux se serait mystérieusement localisé ». Michel Leiris, « Biffures (La règles du jeu I) », Gallimard, 1948, p. 123-124.
Merci beaucoup!