Impression de servitude Spread the loveTweet Posté le vendredi 15 mars 2013 par Richard Louvet et classé dans Les Carnets de Résidence. Tags : Bondage Vous pouvez suivre les commentaires de cet article via le flux RSS 2.0.
« A elle qui gagnait sa vie en tapant à la machine toute la journée, sa joie était de se changer, la nuit, en clavier que son amant manipulait », Michel Leiris, « Le ruban au cou d’Olympia », Gallimard, 1981, p. 56.